Dans le grand livre des mystères corporels dans ta deuxième tranche de vie, quand tu es une femme de dwich : il y a une page dédiée aux poils au menton. Oui, ces petites excroissances faciales qui semblent surgir de nulle part, comme des invités non invités à une fête glamour. Pourquoi se présentent-ils là ? Eh bien, détendez-vous et laisse-moi te narrer l’épopée des poils du menton, surtout après 40 ans !
À vos pinces à épiler ! Prêt partezzzzzz !
Acte I : les hormones entrent en scène votre titre ici
Imaginez un théâtre où les hormones jouent le rôle principal. Dans cette pièce, les œstrogènes et la testostérone sont les protagonistes. Pendant des années, ils ont dansé un tango hormonal harmonieux. Mais voilà, avec l’âge, les choses changent. Les œstrogènes se font rares, laissant la testostérone régner en maître. Et c’est ainsi que commence le drame des poils de menton. Et cerise sur le gâteau, ils sont bien drus comme tes cheveux blancs…On adhère…
Acte II : le bal des androgènes
Les androgènes, ces messieurs les hormones masculines, prennent alors les rênes. Ils se glissent dans les follicules pileux du visage et disent : « Allez les gars, c’est l’heure de la fête ! » Et voilà, les poils commencent leur danse macabre, s’élevant fièrement du menton des femmes. Et là on se dit que ces hormones mâles on veut bien leur laisser. Pas envie de ressembler à une vieille sorcière !
Acte III : la génétique entre en scène
Ah, la génétique, ce scénariste capricieux ! Certains follicules pileux sont plus sensibles aux androgènes que d’autres. Alors, si tante Gertrude avait une barbe digne d’un Viking, il est fort probable que vous partagiez ce trait hirsute. Merci, tante Gertrude. Et surtout, tu te souviens que tu regardais ces longs poils pendant les dimanches en famille. Et là tu te dis, les poils au menton ne passeront pas par mouuuuuuuuuua.
Acte IV : l’épisode de la ménopause
La ménopause, ce grand chamboulement hormonal ! C’est là que les choses deviennent vraiment intéressantes. Les œstrogènes se retirent, laissant la testostérone faire son numéro principal. Et paf ! Les poils au menton deviennent les stars de la soirée. C’est comme si une armée de mini-soldats décidait soudainement de conquérir ton visage. Et oui c’est l’un des symptômes de la périménopause, au-delà de la perte de cheveux pour certaines… En gros, envie de coller des poils de menton pour cacher les trous sur ta tête !
Pour en savoir plus sur la ménopause, lis notre article !
Acte V : les solutions, ou le grand désordre épilatoire
Maintenant que nous avons compris le pourquoi du comment, que faire de ces poils envahissants ? Heureusement, il existe des solutions. De l’épilation au laser à l’électrolyse, en passant par les crèmes dépilatoires, les options sont nombreuses. Mais attention, ne tirez pas sur les poils à la pince à épiler, c’est comme si vous déclariez la guerre à votre propre visage ! Si c’est récupérer des traces en bonus, on « Forget » total.
En conclusion, mes chers Dwichs, rappelez-vous que la vie est pleine de surprises, y compris ces petits poils récalcitrants. Alors, souriez à la vie, et si jamais tu trouves un de ces poils au menton, fais-en un vœu ! Après tout, pourquoi pas ? Qui sait ce que l’avenir vous réserve ?
Sur cette note légère et poilue, je vous laisse avec une pensée profonde : peut-être que les poils au Menton sont justes la façon de la nature de vous rappeler que vous êtes une œuvre d’art en constante évolution, avec ses petits défauts charmants. Alors, mes amis, vivez, riez et épilez vos poils avec style !
